Cassidy Spring [ Terminé]

?Votre Personnage?

Nom : Spring
Prénom : Cassidy
Age [+date de naissance]: 17 ans - 30 décembre 1930
Metiers : Etudiante

Physique : Il y a tellement de personnes qu’elle aimerait être, tellement de visages qu’elle aimerait porter plutôt que le sien, tellement de chevelures brillantes et soyeuses qu’elle rêverait de laisser cascader sur ses frêles épaules au lieu de son physique qui ne lui convient en aucun cas selon elle. « Pourquoi suis-je ainsi? » voila la question de son existence. Pourtant, qui ne pourrait pas envier ses longs cheveux châtains? Qui n’envie pas sa peau sans défauts et nette de toute irrégularité qui relève son visage fin en cœur? Et qui n’est jamais resté figé par la profondeur de son regard d’un brun chaud et tendre qu’elle rehausse toujours d’une pointe de maquillage lui permettant ainsi d’élargir ses longs cils presque transparents? La douceur de ses mains rendrait pâle de jalousie de nombreuses rivales… mais elle n’aime pas tout ce qu’elle a. Elle ne se satisfait pas de ses dents blanches et régulières qui lui permettent de croquer la vie à pleine dent comme on croque une pomme verte, elle se trouve soit bien trop grande ou bien trop petite avec son mètre soixante-cinq . Elle n’aime pas la courbure de ses hanches fines, la longueur de ses jambes interminables et uniformes, elle a en horreur son port fier et ses lèvres naturellement rosées qui font les convoitises de nombres de garçons. Elle aimerait tellement changer tout cela. Parce que rien ne lui apporte le regard de celui qu’elle veut et désire.

On peut la voir habituellement vêtue de vêtement classique et très bien coordonnés sous son uniforme, n'ayant pas un choix particulier de couleur, sa peau se marie avec tout ce qu'elle porte. Y compris cet affreux pull violet qui fait hérissé tous les cheveux de ses camarades de dortoir. Elle ne peut qu'haïr la douloureuse façon qu'on ses joues de rougir à chaque fois qu'il croise son regard, elle ne peut voir cette cicatrice insupportable, légation de sa mère , dans le creux même de son dos selon elle tachant irrémédiablement sa peau. Il y a quelque chose qui fait bien sa spécificité: elle a un tel talent pour se déguiser ou encore se camoufler que beaucoup l'on déjà prise pour une métamorphage. Toujours droite, elle a un physique athlétique mais ne vous trompez pas... le sport est bel et bien sa bête noire, elle ne le supporte pas, étant extrêmement maladroite, demandez lui de courir quelques mètres et elle se fracturerait la cheville en addition d'un claquage. Non, sa silhouette est uniquement dû à un manque de nourriture. Ou plutôt à un manque d'appétit. Elle n'est pas boulimique, elle n'est pas anorexique... elle a juste besoin de plus de temps pour étudier et comme la bibliothèque n'a jamais permis que l'on mange entre les rayonnages... rien ne la dérange dans le fait de sauter quelques repas même au dépit de sa santé. On se demande d'ailleurs qu'elle est son secret anti-cernes car malgré les témoignages des nombreux élèves attestant l'avoir vu veiller plusieurs nuits d'affilées, le nez plongé dans un grimoire aussi lourd qu'elle, aucun ne l'a jamais vu avec ne serait- ce qu'une petite marque noire sous l'oeil. Absolument intouchable, les nombreux garçons ayant essayés de la courtiser se sont retrouvé refroidit parce que tous s'accorde pour définir comme étant « des rayons de pure rage ». Car en effet, la belle ne se réserve que pour une seule personne. Demandez lui de qui il s'agit elle vous répondra d'un regard rêveur qu'il s'agit de l'homme parfait, vous mettant sûrement les nerfs et votre dignité à rude épreuve. De sa démarche flottante, elle ne relève que rarement les yeux de son livre, ce qui lui a valu plusieurs désagréments comme le fait de chuter dans des escaliers ou d'autre chose encore. Comme quoi, il faut faire très attention lorsque l'on est extrêmement maladroite et que l'on ne regarde pas devant soi. Mais ceci serait sûrement la seule leçon qu'elle n'apprendra jamais.

Caractère : Comment dire? Le caractère de Cassidy est difficile a définir, oui sa doit être la plus proche définition que l’on puisse donner d’elle. Ses pensées sont tout bonnement indéchiffrables et même un excellent occlumens se perdrait sûrement dans le dédale de son esprit d’érudit accomplie. La moindre de ses actions est commandées par une seconde pensée. Elle ne ferait jamais rien sans que cela suive un autre projet et on peut facilement et sans prétentions dire qu’elle a au moins plusieurs coups d’avance dans tout ce qu’elle entreprend, ce qui d’ailleurs fait d’elle un adversaire particulièrement redoutable aux échecs. D’une logique et d’un sang froid à toutes épreuves, elle semble aborder les vérités les plus sombres de la vie avec une dédain déconcertant. Néanmoins, ce masque de connaissance tombe souvent en miette en raison de sa maladresse presque maladive. Maladresse qui il faut le rappeler lui a causé bien des problèmes dans le passé. L’une de ses plus grandes ambitions dans la vie? Avoir accès à toutes les connaissances du monde. Elle n’est pas spécialement froide, elle est juste tellement plongé dans son monde qu’elle à tendance à ne pas regarder les autres. Par ailleurs, il n’y a vraiment que les personnes avec qui elle peut parler de tout ce qu’elle a appris à qui elle adresse la parole. Ce qui explique sûrement le fait qu’elle ai rejeté tout les garçons qui ont osé lui demander un rendez-vous. Néanmoins, son dicton n’est autre que : « L’aigle avisé cache ses serres. » Il est simple de comprendre ici qu’elle ne révèlera jamais ses vrai talents, ses vrais connaissances, ses vrais projets, sa vrais personnalité. Sa mère venait à penser qu’elle serrait capable de tuer pour s’approprier quelque chose de rare. Son ambition: Découvrir les plus grands secrets. Comme un aimant, elle est attirée par les personnalités puissantes, elle œuvre dans l’ombre. La lumière ne l’intéresse pas, selon elle, on accomplit bien plus de chose en tirant les ficelles d’un quelconque pantin plutôt que s’exposer soit même. Elle n’est toutefois pas entièrement inclinée vers le bien ou vers le mal. Dans sa conception des choses, le gris est prédominant. Il est impossible de suivre un schéma manichéen lorsque l’on parle de savoir. Par contre, il y a bien quelque chose, ou plutôt quelqu’un capable de briser irréparablement sa carapace… si bien qu’elle n’a jamais réussi à tenir une conversation digne d’intérêt en sa présence durant les sept années qu’elle a passé au château à son plus grand malheur. Un traumatisme d’enfance lui vaut le fait qu’elle ne se vantera jamais de ses connaissances.

En effet, lorsqu’elle n’avait que quelques années, sa mère qui avait dû travailler pendant des années afin d’arriver à son emploi aisé se mit à la jalouser. De quoi une mère d’une enfant de quatre ans pourrait être jalouse? Et bien tout simplement de l’intelligence terrifiante de son enfant. Tout semblait lui réussir et elle lisait déjà des traités d’arithmétiques. Au lieu d’une fierté que tout parent normal est censé ressentir dans une situation telle que celle-ci, Alienor Spring se mit à rejetter son enfant, refusant tout contact avec elle. Puis… à la mort de son mari, elle devint violente, jetant tout son malheur sur les épaules de sa fille unique. Cassidy se mit alors à discuter avec son ami imaginaire. Ami qui comme chez la plupart des enfants sorciers obtient une sorte de faible consistance. Cela, sa moldue de mère l’apprit à ses dépends. Lors d’une énième dispute, alors qu’elle venait de brutalement jeter un fer à repasser chaud sur le dos de la petite fille, une sorte de peluche de deux mètres apparut devant elle, l’obligeant à hurler d’horreur avant de commencer à l’étranger avec le fils du fer à repasser. Ce moment atroce, ô comme elle s’en rappelle. Lorsqu’elle se penche pour attraper des livres ou commence à s’étirer trop rapidement, il y a cette énorme cicatrice qui lui envoie une vague de douleur. Être élevée chez sa grand-mère paternelle lui a toute fois permit de trouver la paix parmi le floue de l’enquête qui a suivis cette mort étrange. Elle n’a pas d’amis que des connaissances et aucune ne peut se venter de connaître cet épisode particulièrement pénible de sa vie. Solitaire, on peut la voir assise au bord du lac, les pieds dans l’eau même en hiver, un livre à la main et un air absent sur le visage. Selon une rumeur, un élève aurait une fois jeté un pétard mouillé à ses pieds sans obtenir la moindre réaction de la part de la jeune fille. Elle n’est pas timide. Oui, c’est le moins que l’on puisse dire. Quelque chose à votre sujet qui lui déplais? Elle ne se gênera pas une seconde pour vous le dire… sans même relever le nez de son livre. Heureuse qu’il y a ses nombreuses chutes car sinon, on risquerai bien de la prendre pour quelqu’un de totalement étranger à la race humaine. Son surnom? Athéna. Pourquoi? Mais voyons: la déesse de l’art et de l’intelligence. Ah… aurais-je oublier de préciser que les croquis de Cassidy sont d’une précision démoniaque? Sûrement… bref. Mais elle n’est pas parfaite loin de là… elle semble en effet avoir de sérieux problème avec la ponctualité. De plus, elle possède un étalage impressionnant d‘insultes. Et puis, si tout lui était facile, ne lui aurait-elle pas d’hors et déjà parler?

?Hors RP?

Prénom :Jo
Age: 16 pour l’instant ( 17 le mois prochain)
Niveau de Rp : Et bien, je n’ai pas fait de rp depuis longtemps mais je ne me qualifierai pas de débutante.
Comment avez vous connu le forum? Sur un top-site
Les points positifs du forum : Design superbe, tout début du forum.
Les points négatifs du forum : Je n’en ai pas trouvé pour le moment. Prions pour que cela n’arrive pas dans l’immédiat.
Enigmus : Vérifié par Sirius

Histoire:Il s’agissait d’une de ces maisons que l’on qualifierai de très « chic », le toit incliné en tuile d’un rouge vif attirait l’œil immédiatement et si il ne le faisait pas, on remarquait quand même les grandes colonnades de la maison de style victorien. Le jardin était devenu légèrement jaunâtre à cause de l’effrayante canicule qui ravageait la région à cette période de l’année. L’allée était faite de pierres cuites et bordée de plusieurs plantes, chaque pas sur ce dallage produisaient un son délicat à entendre. Le heurtoir de la porte était en fer forgé, en forme de jonquille. Fait très étrange sois dit en passant… L’entrée n’était pas très vaste, mais il y avait bien suffisamment de place pour passer à plusieurs de front. Il y avait plusieurs tables, sur chacune reposait sagement un vase luxueux rempli de jonquilles. La moquette semblait attiré quiconque la regardé à vouloir s’allonger sur le sol et ne plus en bouger. La décoration était sublime. La pièce la plus proche de l’entrée était un petit bureau, rempli de livres tout aussi épais les uns que les autres. Une élégante femme brune était occupée à repasser des vêtements de marques tandis que dans le coin le plus sombre de la pièce, assise sur un fauteuil, une petite forme enfantine aux cheveux nattés caressait d’une main distraite une petite panthère en peluche tandis que ses grands yeux bruns vagabondaient entre les lignes de l’énorme ouvrage d’algèbre. Soudain, la voix aigue de la jeune femme résonna dans la petite pièce, faisant sursauter la petite fille qui en laissa tomber sa peluche.

‘ Je ne comprend pas comment tu peux t’obstiner à faire croire aux autres que tu comprends ce livre… tu ne m’aura pas moi… loin de là.’ déclara la mère de la jeune Cassidy d’un ton sec.

Cette dernière leva un menton outré, comme si la simple idée de mentir de cette manière la révulsait. Non, comme si le simple fait que sa mère refuse obstinément de la croire la heurtée.

‘ Mère, je ne vous mens pas, je comprend très bien cet ouvrage.’ déclara-t-elle de la voix fluette propre aux enfants de son âge.

Aliènor Spring abattit brutalement le fer à repasser sur la table à repasser, éparpillant les vêtements qu’elle avait déjà soigneusement plié avant de dire d’une voix agacée:

‘ J’en ai plus qu’assez de te mensonge! Ce sont tes mensonges qui ont tués ton père! ‘

La petite fille soupira très légèrement, rangea le livre à son emplacement sur le rayonnage poussiéreux et ramassa sa peluche avant de se diriger vers la porte d’un petit pas rapide. Elle savait quand se méfié de sa mère. Mais en voyant cela, la folie eut raison de l’élégante héritière de l’empire du marché des fleurs et elle se jeta sur sa fille, l’attrapant par les cheveux et la pressant contre le sol. Cette dernière se mit aussitôt à hurler en peine, mais au lieu de ramener la jeune femme à la raison, celle-ci n’en devint que plus enragée. Elle attrapa le fer à repasser sur la table et le pressa sur le dos de la gamine de quatre ans. Aussitôt, la petite chemise blanche prit feu, obligeant la petite Cassis à pousser un hurlement de douleur qui fut entendu jusqu’en bas de la rue comme le témoignèrent plus tard les voisins affolés. Cassidy se tortilla rageusement avant de réussir à se dégager de l’emprise de sa mère, les yeux exorbités, les larmes roulant librement sur ses joues. Lorsque sa mère fit mine de s’avancer encore une fois afin de cette fois ci plaquer le fer sur le visage enfantin de sa fille, elle fut brusquement rejetée en arrière, heurtant le mur opposé dans un hurlement de rage. Sa voix fut cruelle, presque hystérique:

‘ Je le savais! Je savais que tu étais un monstre comme ton père! Je savais! Il ne m’avait rien dit! Il faisait des trucs étranges dans la cave! Il y avait des odeurs étranges partout! C’était un monstre!!! Et tu es pareille!! Tu dois mourir! Je dois te tuer! Comme je l’ai tué! ‘

Cassidy n’arrivait plus à penser, elle ne savait plus quoi faire. Alors elle hurla, tout simplement: ‘ Tais toi! Tais toi! C’est toi le monstre! Je te hais maman! Je te hais!’

Oh quels mots atroces dans la bouche d’une enfant de cet âge. Mais elle ne voulait pas s’arrêter de hurler sa mère, non, elle ne voulait pas… alors le meilleur ami de Cassidy la fit taire. L’énorme bonhomme de neige s’avança et attrapa le fils du fer à repasser. Lorsque la main d’Aliénor retomba doucement sur la moquette après plusieurs minutes, Cassidy laissa échapper un soupir de soulagement avant de s’évanouir sous le coup de l’émotion et de la douleur combinée… pendant ce temps, le fer à repasser abandonné sur la moquette mettait le feu à la maison.

*********


La petite Cassidy sortit sagement de la grande voiture, sont regard scruta chaque recoin du manoir qui serait à présent le nouveau chez-elle. La vieille dame qui lui servait de grand-mère posa une main tendre sur l’épaule de sa petite-fille, le regard triste. Sa petite-fille ressemblait tellement à feu son fils, mais elle était tellement blésée. Son corps presque entier était couvert de bandages… le docteur avait promis que toute les brûles disparaîtraient, hormis l’énorme qu’elle avait dans le dos d’une étrange forme de fer à repasser. Elle conduisit sa petite fille dans le petit salon, demandant aux elfes de maison d’apporter quelque chose à manger. A sa plus grande surprise, la gamine n’eut même pas l’air surprise. Elle entama donc la conversation qui lui tenait à cœur.

‘ Cassis ma chérie… je sais que tu viens de perdre tragiquement ta maman… mais tu sais que tu peux tout me dire. Je t’aime beaucoup et je vais prendre soin de toi, ne t’inquiète pas.. Et bientôt, tu sera guéri et tu pourra jouer au dehors avec les amis que tu te fera. Mais d’abord tu dois savoir que je suis une sorcière comme ton père et qu’il y a de forte chance que tu en sois une aussi. ‘

Cassidy releva la tête, l’air désintéressé, regarda autour d’elle d’un air curieux avant de déclarer d’un ton neutre: ‘ Très bien, où est la bibliothèque?’

La vieille dame estomaquée ne put que pointé d’une main tremblante une porte à l’extrémité de la pièce.

‘ Merci bien grand-mère. Se serai aimable à vous de me faire appeler pour dîner, il se peut que j’ai envie de manger plus tard. ‘

Et sur ces mots, elle sortit tout simplement de la pièce sans regarder en arrière. L’eut-elle fait, elle aurait remarquer l’expression ébahi de sa grand-mère qui semblait se demander si il s’agissait bien de sa petite fille de quatre ans et demi qui venait de lui parler.


*********************

Quelques années avait passé à présent, mais Cassidy n’avait pas changer… oh bien sûr les brûlures avaient disparues à l’exception de celle de son dos comme le médecin l’avait prévu et ses cheveux atteignaient à présent le creux de son dos… mais elle avait toujours ces grands yeux bruns, et comme toujours, elle avait le nez plongé dans un épais ouvrage de magie, installée studieusement au vaste bureau que sa grand-mère avait bien voulu lui offrir pour ses sept ans. Elle trempa soigneusement sa plume dans l’encrier, rapprocha un parchemin vierge d’elle et commença à écrire: « Mes observations sur l’œuvre de S.S.A. au sujet des potions latentes » lorsque soudain, un cognement à la fenêtre la fit sursauter. Relevant la tête, elle vit une chouette effraie qui essayait d’attirer son attention. Elle soupira, se leva et lentement se dirigea vers la fenêtre avant de l’ouvrir et de laisser la chouette entrer, chouette qui ne fit que laisser tomber l’enveloppe qu’elle tenait entre ses serres avant de repartir par le même chemin. Cassidy grimaça en se penchant afin de ramasser la lettre, *cette fichue douleur ne disparaîtra donc jamais? * pensa-t-elle alors qu’elle décachetait rageusement l’enveloppe. Les premiers mots lui permirent de deviner de quoi il s’agissait. Sa lettre de Poudlard. Elle soupira avant d’appeler d’une voix sonore: ‘ Twinkles!’

L’elfe de maison apparut dans un « pop » bruyant avant de s’incliner. Cassidy lui tendit la lettre en ordonnant d’une voix douce: ‘ Apporte cette lettre à ma grand-mère je te pris. Merci. ‘

L’elfe hocha la tête avant de disparaître.


*********

La grande salle était telle qu’elle s’y attendait, ou dut moins, comme elle était décrite dans « L’histoire de Poudlard ». Il y avait les grandes tables, les élèves qui dévisagent les nouveaux et puis, tout un tas de professeurs qui, elle l’espérait, seraient capables de lui apprendre de nouvelles choses mais puisqu’elle connaissait déjà la partie théorique d’a peu près tout le programme, ils l’aideraient pour la partie pratique qu’elle n’avait pas pu réviser auparavant.

‘ Spring , Cassidy!’

Lorsqu’enfin sont nom fut appelé, elle s’avança, d’un pas sur, sans regarder les autres, plus vite cela serait terminé, plus vite elle pourrait demander la direction de la bibliothèque.
Le professeur posa le Choixpeau sur sa tête.

[ Et voilà, désolée, sa dépasser la limite autorisée]

Trés jolie et quelle fille!
Enfin bienvenue quand même!
Au plaisir de te recroiser dans le fofo!
Amuse toi bien!
A trés vite!!
Tchii!!

Merci beaucoup.
Ce sera un plaisir pour moi aussi.
Du moins, si je suis acceptée.

Bienvenue. ^^
T'en fais pas pour le double-post, je pense qu'on a quasiment tous dus faire ça lol.

Bienvenue sur le forum Cassidy, tu es bien sûre validée!

Attends que le choixpeau magique te répartisse pour commencer le rp.

Après ta validation, n'oublie pas d'aller réserver ton avatar, patronus dans paperasses.

Très bien... je me balade un peu partout en attendant ^^ Merci beaucoup

C'était un choix relativement difficile...

Bienvenu à SERDAIGLE !!!

Bon jeu parmi nous !


N'oublie pas d'aller t'inscrire aux cours de défence contre les forces du mal et de soin aux céatures magique !

Youpie!! Exactement ce que je voulais. ( A vrai dire... je n'étais pas très subtile n'est ce pas?) Merci beaucoup, je ferai de mon mieux. Mais... petite question: d'accord, on n'a le droit qu'a 3 topic en cours, mais les cours comptent-ils?

Bienvenu miss !

Trés bonne fiche

Et les cours ne comptent pas... Tu peux y aller... xD

Merci de l'acceuil et de la réponse. On peut fermer ( lol) A bientôt en rp!